Il sommeille tranquillement au fond de chacun.

Conscience, énergie, sexualité sacrée : redevenir initié.e du vivant

Des siècles à chercher le pouvoir… alors qu’il patiente tranquillement au fond de chacun.

On cherche souvent à l’extérieur les réponses, les solutions, voire les responsables de ce que l’on vit. Pourtant, une vérité simple et profonde traverse aussi bien la psychanalyse que les approches énergétiques ou le yoga : tout commence en soi.

La résonance en psychanalyse : ce qui se rejoue

La psychanalyse nous apprend que notre vécu actuel est teinté par notre histoire. Nous projetons, répétons, réactivons des schémas inconscients. Autrement dit, ce que nous percevons « dehors » n’est jamais neutre : il fait écho à des dynamiques intérieures. C’est une forme de résonance psychique. Les autres deviennent des miroirs, révélant nos blessures, nos désirs ou nos zones d’ombre.

La résonance énergétique : vibrations et attraction

Les traditions énergétiques expriment cette même idée avec un autre langage. Tout est vibration. Nos émotions, nos pensées, nos états intérieurs émettent une fréquence. Par effet de résonance, nous attirons des expériences qui correspondent à cette vibration. Ainsi, si nous cultivons la peur ou le manque, nous amplifions des situations qui les renforcent. Inversement, si nous nourrissons la joie, la confiance et l’ouverture, nous nous mettons en phase avec des événements qui vibrent sur ces fréquences.

Le yoga : l’alchimie du souffle et du corps

Le yoga s’inscrit pleinement dans cette logique intérieure. Il propose un chemin où le souffle et le mouvement deviennent des outils de résonance. Le souffle (prāṇāyāma) agit comme un pont entre le corps et l’esprit. En l’harmonisant, on libère des peurs accumulées qui avaient figé le « flow » vital. Le corps, à travers les postures (āsanas), révèle les zones de tension, souvent liées à des émotions refoulées ou à des traumatismes stockés dans les tissus. Lorsque ces blocages restent trop longtemps immobiles, ils créent rigidité, fatigue, voire des maladies. Le yoga, par sa pratique régulière, remet en mouvement, fluidifie, réactive la circulation de l’énergie vitale. Ainsi, travailler à l’intérieur grâce au yoga transforme peu à peu la manière dont nous vibrons, et donc la manière dont nous expérimentons notre réalité.

Ces 3 pratiques ont en commun le potentiel incroyable de réconcilier les parts blessées en Soi et réactiver notre pouvoir intérieur.

Le pouvoir intérieur pourquoi si peu populaire?

Si le pouvoir intérieur est une clé si puissante, pourquoi reste-t-il si peu reconnu et recherché?

1: associé à des concepts métaphysiques non-prouvés

2: associé au bien-être secondaire

…. je vois une seule cause: l’ignorance du sujet, l’inconscience.

Des repères pour s’y retrouver

Choisir le pouvoir intérieur, c’est choisir un chemin moins fréquenté. Parce que je connais bien ce chemin, je transmets aujourd’hui des repères pour aider à s’y retrouver. Des clés concrètes pour revenir à soi, libérer les tensions, élever sa vibration et réactiver ce pouvoir intérieur qui sommeille en chacun.

Depuis des millénaires, les grandes civilisations ont codé des lois, des chemins, des outils subtils pour permettre à l’être humain de franchir ses grandes initiations — celles qui lui permettent de passer d’un état d’ignorance, de souffrance ou de division à un état de maîtrise intérieure et de rayonnement. Ces savoirs sont universels.

Sagesses contenant des codes

Secrets chamaniques, druidiques, savoirs d’Egypte antique, issus de la Caballe… rites de passage, comme l'œdipe, et la psychanalyse, fonctionnement du transgénérationnel, et des héritages invisibles karmiques, lecture de la mémoire cellulaire, secrets tantriques & yogiques, exploration de la kundalini et des chakras, pratique des états modifiés de conscience/ alpha, thêta , saut dimensionnel quantique…. la liste est longue! J’ai 25ans d’exploration et de nombreux codes à transmettre.

Aujourd'hui, dans notre civilisation matérialiste, ces codes sont oubliés, voire inversés, laissez moi vous les enseigner!

Activation individuelle et enjeu collectif

Vous n’avez pas reçu les bons codes. Les codes dont vous auriez eu besoin ne sont plus transmis dans notre culture actuelle. Ils ont été oubliés, dissimulés, remplacés par des conditionnements erronés qui génèrent de la peur, de la culpabilité et de la division intérieure.

Je ne pense plus aujourd’hui que les gens ont besoin de thérapies ou de coachs: je pense qu’ils ont besoin d’enseignements. Les gens ne sont pas malades ou fainéants, ils sont juste ignorants et piégés dans les basses fréquences du monde.

L’enjeu aujourd'hui n’est pas de devenir "meilleur" selon des standards extérieurs, de s‘adapter plus, dans ce monde “inconscient”. L’enjeu est de s’élever = de retrouver “conscience”.

À quoi bon? Pour changer ce que vous croyez immuable. La conscience est toute puissante. Ce n’est pas l’égo, ni l’intelligence. C’est une vibration supérieure, silencieuse.

La conscience, énergie de vie créatrice

La conscience a un pouvoir: elle est créatrice de réalité.

Elle descend dans la matière pour s’y expérimenter. En se densifiant, elle devient énergie, puis forme, puis monde. Le corps, la nature, les paysages de nos vies ne sont que de la conscience ralentie, figée dans une vibration visible.
Les civilisations les plus avancées connaissaient cette loi. Elles savaient que la terre elle-même, les forêts, les océans, les minéraux, ne sont pas des objets inertes mais le fruit d’une création consciente : un tissu vivant formé par la pensée, le son, la vibration. Autrefois, l’humanité pouvait encore créer le paradis, car elle connaissait la source et savait descendre la lumière dans la forme sans la perdre.
Mais plus la conscience se densifie, plus elle s’oublie. La matière devient alors prison, car ce qui a été figé ne peut être changé de l’intérieur du même plan. Pour transformer le monde, il ne faut pas s’y battre : il faut remonter vers l’énergie fluide, la conscience à l’état pur, là où toute création recommence.
C’est en réalité l’énergie de vie elle-même.

Elle n’est pas symbolique ni mystique : elle circule dans chacun de nous. Les traditions l’ont nommée kundalinī — l’énergie vitale lovée à la base de la colonne vertébrale, prête à s’éveiller quand la conscience s’élève.

Ce flux traverse des centres d’énergie, les chakras, qui correspondent à différents niveaux de soi : survie, désir, pouvoir, amour, expression, vision, unité. Chaque centre représente un champ d’expérience, une fréquence. Tant que ces roues restent partiellement fermées ou déséquilibrées, l’énergie circule mal : elle se fige dans la peur, le contrôle ou le manque.

La sexualité est l’une des voies naturelles de cette circulation. Mais chez la plupart des êtres, cette force reste bloquée dans les zones inférieures — utilisée pour combler, consommer, séduire, dominer.
Les initiés, eux, ont appris à faire monter cette énergie avant de la libérer, à la transmuter en conscience, en clarté, en amour. C’est le sens profond de la sexualité.

Cette même force, mal dirigée, devient destructrice. C’est l’usage inconscient de l’énergie sexuelle — celle que certaines loges ou pratiques occultes manipulent pour le pouvoir, en ignorant la dimension du cœur. On appelle cela magie noire, mais il s’agit simplement d’une mauvaise orientation de la force créatrice. Car même l’inconscience crée : elle donne forme au chaos.

Voilà pourquoi le monde ressemble à ce qu’il est aujourd’hui

Le résultat d’une humanité qui utilise son énergie sans conscience, focalisée sur le désir, la peur et la domination.

Mais cette même puissance, quand elle est consciente, c’est elle qui guérit, qui inspire, qui crée les mondes à venir, loin des souffrances.
Apprendre à la retrouver, à la diriger, c’est l’enjeu ascensionnel de notre époque.

Je vous invite à participer à cette révolution des consciences retrouvées grâce à ces sagesses que je transmets. Re-devenez initié.e