Au-delà des religions
Toutes les grandes religions portent la même sagesse fondamentale qu’on est invité à expérimenter au-delà de l’apprentissage
Au-delà des religions et sagesses multiples, une même essence
Au fil du temps, j’ai étudié et expérimenté de nombreuses voies spirituelles : la kabbale, le catharisme, les traditions yogiques, …
Cela m’a appris une chose essentielle : il ne s’agit pas de choisir une tradition contre une autre, ni de se perdre dans des dogmes ou des formes extérieures. Les religions et les écoles mystiques sont porteuses de codes intemporels. Quand on remonte à la source, on retrouve toujours le même appel, les mêmes concepts : sur la dualité et l’unité, l’ombre et la lumière, le dépassement de l’égo, la conscience du divin dans le cœur, la purification, les rites comme moyens de s’élever…
Dans le christianisme, l’amour inconditionnel, le pardon et la réconciliation sont au centre. Le message du Christ est celui de l’unité à travers le cœur.
Dans le judaïsme mystique (kabbale), l’homme est invité à réunifier les polarités de l’arbre de vie et à retrouver l’Unité perdue.
Dans l’Islam, et plus encore dans le soufisme, le chemin est de purifier le cœur et de dépasser l’ego (nafs) pour retrouver l’Unité divine (tawhid).
Dans l’hindouisme et le yoga, au-delà des postures, il est une discipline spirituelle visant à libérer l’être humain de ses conditionnements, à unifier ses énergies contraires (soleil/lune, masculin/féminin, inspiration/expiration), et à permettre l’expérience directe de la conscience supérieure.
Dans le bouddhisme, il s’agit de dépasser l’illusion de la séparation et d’entrer dans la compassion universelle, où tout est interdépendant.
Dans les traditions chamaniques, l’homme apprend à se relier aux forces visibles et invisibles, à réconcilier l’ombre et la lumière dans une même trame vivante.
👉 Partout, le même fil rouge : nous vivons dans la dualité, mais nous sommes appelés à retrouver l’unité.
Cela passe toujours par un travail intérieur : reconnaître ses ombres, réconcilier ses polarités, et ouvrir le cœur comme lieu de transcendance.
La spiritualité : au-delà des religions
Dans un monde marqué par l’incertitude, la violence et la peur, une chose devient évidente : l’être humain ne peut pas trouver son équilibre sans une dimension spirituelle.
Il ne s’agit pas de religion institutionnelle ni de dogme, mais d’une connexion intérieure à plus grand que soi — un lien qui nourrit, qui soutient et qui aide à traverser les épreuves.
La spiritualité n’est pas la religion.
Les religions proposent des codes, des rites, des textes sacrés. Elles ont servi de cadres pour transmettre la mémoire des traditions.
Mais la spiritualité est plus vaste : c’est une expérience intérieure, une foi vivante, une connexion au divin qui dépasse les formes et transcende les textes.
On peut lire les Écritures, pratiquer des rituels, apprendre le yoga, suivre une lignée… mais tant qu’il n’y a pas ce vécu intime de la transcendance, il manque l’essentiel. La spiritualité est ce qui nous relie directement à la source de la vie, sans intermédiaire.
La Sainte-Baume
Mon chemin a véritablement commencé en 2001, avec la psychologie. Mais ce n’est qu’en 2010, après quelques années d’éveil spirituel, et de travail dans les énergies, lors d’un pèlerinage à la Sainte-Baume, que j’ai touché cette réalité mystique de façon concrète. Ce lieu, habité par la mémoire de Marie-Madeleine, m’a reliée à une présence, et à une foi qui ne m’ont plus jamais quittée. Je me rapprochais de l’énergie de Jésus depuis quelques temps déjà, mais c’est cette montée à la grotte que l’expérience m’a traversée. Une telle puissance qui dépassait ce que j’avais pu concevoir.
En y retournant cette année avec mon fils, j’ai compris que cette expérience n’était pas seulement personnelle : elle est universelle. Chacun, à sa manière, a besoin de trouver une base spirituelle — une force intérieure — pour pouvoir se dépasser et avancer. Ce que j’ai vécu en 2010, mon fils l’a expérimenté à son tour. Il avait grandi avec mes enseignements, mais il a fallu qu’il vive lui-même cette grâce immense que d’être frappé par la foi. Quelle bénédiction.
Si je devais me présenter, ce serait ainsi : un personnage mystique et spirituel. Toute ma vie est faite de cela. J’ai longtemps caché cette part de moi, par honte — elle me séparait des autres. J’ai sacrifié cette vérité intime pour m’intégrer, pour éviter le regard et les incompréhensions. Aujourd’hui, après 45 ans, je réalise que c’était une grave erreur. Je ne peux comprendre comment vivent la plupart des gens ; je n’ai jamais pu m’aligner sur leurs repères ordinaires et mondains. Je ne comprends que le langage du haut. Je pense que c’est justement ce qui devrait nous relier tous. Je remarque que lorsque je suis authentique, ma foi est contagieuse, et transmettre, partager ces énergies là est désormais une fierté, un devoir assumé.
Les énergies actuelles : vers la résorption de la dualité
Aujourd’hui, je vois que ce travail individuel rejoint un processus collectif : le monde entier traverse ses ombres. Nous traversons en ce moment une période intense, où les énergies de la Terre et de l’humanité s’élèvent et se transforment. Tout ce qui était caché, refoulé, rejeté remonte à la surface. La violence extérieure est le reflet des résistances intérieures. On ne peut plus rien masquer. Celles et ceux ayant déjà travaillé ce sujet en eux-mêmes seront témoins les prochaines années de ce face à face final de ceux qui ne l’ont pas fait.
Les sagesses anciennes, les traditions mystiques, les pratiques corporelles et spirituelles, tout converge vers ce même message : la paix naît d’abord dans le cœur, par la rencontre vivante avec le divin en soi.
SI ce n’est encore fait: chacun est invité à faire ce travail de réconciliation, afin que la dualité s’apaise et que l’unité devienne vivante. Cela peut paraitre complexe à comprendre, et c’est pourquoi j’enseigne sur ces sujets, les miroirs, la dualité, sur le fonctionnement du lien à l’autre (la rencontre du refoulé), et initie au travail des ombres. J’ai cette particularité d’expliquer ce que cela veut dire.
Mes enseignements
Aujourd’hui, j’enseigne à travers le yoga et d’autres pratiques qui n’appartiennent pas à une seule tradition. Elles se déploient sous mille formes.
Je ne cherche pas à imposer une croyance ni une voie unique, mais à partager une synthèse vivante : une sagesse universelle qui circule à travers toutes les traditions et qui nous invite à retrouver l’unité intérieure.
✨ La spiritualité n’est pas réservée à quelques initiés. C’est une expérience humaine fondamentale. Elle est la clé de notre équilibre, la force qui nous permet de dépasser la peur et de marcher vers plus de conscience et de paix.
Comprendre le lien à l’autre, les polarités - Apprendre et être initiée à son rythme - Faire le point sur son énergie et être soutenu.e vibratoirement -